TARGET – LE VIEUX-PORT
ÉCHANGEUR DU CARÉNAGE – SEPTEMBRE 2020
ARTISTE : JEAN-BAPTISTE SAUVAGE
Reprenant les motifs de l’héliport du circuit Paul Ricard au Castellet, cette pièce transforme l’échangeur du Carénage en une ponctuation visuelle, un marquage de bord de piste au cœur névralgique de Marseille lors de Manifesta 13, biennale européenne de création contemporaine.
« La piste d’atterrissage, [les bandes] roses et blanches font pour moi office de catalogue de formes. La pièce proposée ici en est une première variation. Ces formes sont reprises, défonctionalisées et présentées comme possibles peintures autonomes, un copié-collé à l’échelle du paysage dont la source, le circuit du Castellet, est à quelques kilomètres à vol d’oiseau de Marseille. Cette cible [..] est une manière de proposer pour un temps un nouveau centre visible de multiples points de vue surplombants (Mucem, St Victor, Fort Saint-Jean, etc.) ou lors du survol de la ville. C’est aussi une possibilité de pratiquer cet espace, marcher dans la peinture… » Jean-Baptiste Sauvage
http://www.jb-sauvage.com/
Jean-Baptiste Sauvage a mené de nombreux projets autour de la thématique de la vitesse, explorant les notions de flux, des rythmes et des déplacements citadins. Il développe une pratique in situ d’installation, de sculptures ou de peintures dans des environnements urbains, industriels ou architecturaux.
Le travail de Jean-Baptiste Sauvage, reconnu sur la scène internationale l’a amené à collaborer avec de nombreux artistes, pour le plus récent Olivier Mosset, et à partager son expérience avec les étudiants en tant qu’enseignant de l’École supérieure d’art et de design Marseille-Méditerranée depuis 2010.
HISTORIQUE ARTISTIQUE DU SITE
À cet emplacement se trouvait les traces d’une œuvre de Judith Bartolani et Claude Caillol : un damier – vestige d’une oeuvre pour l’exposition en 1989 Transports (Barcelone/Marseille/Naples), représentant le carrelage d’un intérieur domestique sur lequel étaient disposés des meubles éphémères des artistes. Ce projet s’est dégradé au fil des années pour être plus tard investi par le collectif Sard’invaders (sardines pixelisées), ou encore par l’artiste Fouad Bouchoucha.
TARGET
LE VIEUX-PORT
ÉCHANGEUR DU CARÉNAGE – SEPT 2020
ARTISTE : JEAN-BAPTISTE SAUVAGE
Reprenant les motifs de l’héliport du circuit Paul Ricard au Castellet, cette pièce transforme l’échangeur du Carénage en une ponctuation visuelle, un marquage de bord de piste au cœur névralgique de Marseille, lieu de fondation de la cité et d’ouverture sur le monde lors de Manifesta 13, biennale européenne de création contemporaine. L’œuvre reproduit à l’identique les méthodes, les proportions, les peintures utilisées sur le site d’origine.
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« La piste d’atterrissage, [les bandes] roses et blanches font pour moi office de catalogue de formes. La pièce proposée ici en est une première variation. Ces formes sont reprises, défonctionalisées et présentées comme possibles peintures autonomes, un copié-collé à l’échelle du paysage dont la source, le circuit du Castellet, est à quelques kilomètres à vol d’oiseau de Marseille. Cette cible [..] est une manière de proposer pour un temps un nouveau centre visible de multiples points de vue surplombants (Mucem, St Victor, Fort Saint-Jean, etc.) ou lors du survol de la ville. C’est aussi une possibilité de pratiquer cet espace, marcher dans la peinture… » Jean-Baptiste Sauvage
http://www.jb-sauvage.com/
Jean-Baptiste Sauvage a mené de nombreux projets autour de la thématique de la vitesse, explorant les notions de flux, des rythmes et des déplacements citadins. Il développe une pratique in situ d’installation, de sculptures ou de peintures dans des environnements urbains, industriels ou architecturaux.
Le travail de Jean-Baptiste Sauvage, reconnu sur la scène internationale l’a amené à collaborer avec de nombreux artistes, pour le plus récent Olivier Mosset, et à partager son expérience avec les étudiants en tant qu’enseignant de l’École supérieure d’art et de design Marseille-Méditerranée depuis 2010.
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HISTORIQUE ARTISTIQUE DU SITE
À cet emplacement se trouvait les traces d’une œuvre de Judith Bartolani et Claude Caillol : un damier – vestige d’une oeuvre pour l’exposition en 1989 Transports (Barcelone/Marseille/Naples), représentant le carrelage d’un intérieur domestique sur lequel étaient disposés des meubles éphémères des artistes. Ce projet s’est dégradé au fil des années pour être plus tard investi par le collectif Sard’invaders (sardines pixelisées), ou encore par l’artiste Fouad Bouchoucha.